Numérique responsable : la dématérialisation comme levier clé

Les freins identifiés par les décideurs

Si l’engagement progresse, l’étude Exaegis–Markess « Engager le secteur public vers un numérique plus responsable » révèle des obstacles qui ralentissent le passage de la stratégie à l’action :

• Manque d’acculturation des agents et élus (53 %).
• Conflits de priorité avec d’autres enjeux, par exemple la cybersécurité (53 %).
• Pas de budget clairement identifié (46 %).
• Difficulté à définir et à suivre des indicateurs de performance environnementale (44 %).
• Faible transparence des fournisseurs sur les pratiques environnementales (39 %).
• Résistance au changement (33 %).

Ces freins expliquent pourquoi de nombreux organismes publics tardent à transformer leurs ambitions en résultats.

Dématérialisation et archivage électronique : des leviers concrets

Parmi les leviers activables, la dématérialisation et l’archivage électronique occupent une place essentielle :

• Réduction du papier et des impressions : moins de ressources consommées et moins de transports de documents.

• Optimisation et stockage des données dans des infrastructures engagées en matière de « Numérique Responsable » : réduction de la taille des fichiers (compression, nombre de pages…), optimisation des serveurs physiques et mutualisation du stockage dans des centres de données ayant une démarche environnementale et de décarbonation très engagée (plan de sobriété énergétique en place, recours aux énergies renouvelables, gestion sobre de l’eau et des systèmes de refroidissement…)

• Traçabilité et conformité : archivage électronique certifié, garantissant valeur probatoire et sécurité.

• Fluidité des parcours usagers : une gestion documentaire plus simple, plus rapide et accessible à tous.

Ces actions, combinées à une gouvernance documentaire solide et à l’éco-conception des services numériques, soutiennent directement la sobriété numérique recherchée par le secteur public.

Passer du projet à l’action : l’importance de l’accompagnement

La réussite d’une stratégie de numérique responsable ne repose pas uniquement sur la volonté. Elle exige expertise, méthodologie et capacité opérationnelle. C’est pourquoi 57 % des organismes publics envisagent de faire appel à un prestataire externe.

Mais choisir le bon partenaire est tout aussi déterminant. Il s’agit de collaborer avec des acteurs :

• qui justifient de leurs engagements en matière de numérique responsable, idéalement labellisés par un organisme tiers ;
• qui disposent d’une gouvernance solide, pilotant une stratégie environnementale, éthique et sociétale ;
• qui développent des solutions numériques éco-conçues et accessibles, favorisant l’inclusion ;
• qui s’appuient sur des solutions d’hébergement vertueuses ;
• et qui mesurent régulièrement leurs performances pour réduire leurs impacts environnementaux, mais aussi éthiques et sociétaux.

Le groupement CGI, Tessi et Eliot a été sélectionné par l’UGAP pour le marché d’assistance à la dématérialisation et à l’archivage électronique. Ce marché national permet à toutes les administrations, établissements publics, collectivités territoriales et acteurs de la sphère sociale d’accéder facilement à une offre complète :

• Conseil et diagnostic.

• Conception et intégration de solutions de dématérialisation.

• Numérisation industrielle et archivage électronique certifié.

• Conduite du changement et accompagnement des agents.

Un cadre simple avec l’UGAP

Les chiffres de l’étude Exaegis–Markess sont clairs : la transition est lancée, mais elle nécessite un accompagnement expert. Le numérique responsable ne se limite pas à une stratégie affichée. Il repose sur des solutions concrètes comme la dématérialisation et l’archivage électronique.

Avec le marché UGAP, porté par CGI, Tessi et Eliot, les organismes publics disposent d’un cadre simple et sécurisé pour franchir ce cap.

👉 Contactez dès aujourd’hui nos experts et engagez votre organisation vers un numérique plus responsable, durable et inclusif.

* Source : Étude Exaegis–Markess « Engager le secteur public vers un numérique plus responsable » (2024-2026).